Symptômes de fatigue quand le corps continue à pomper.

Burn-out_670-300x168Parfois, vous pouvez souffrir de maux de tête, de maux d’estomac, de tension et d’étourdissements, et avoir une vision trouble, sans raison apparente.
Lorsque le corps et l’esprit ne sont plus synchronisés l’un avec l’autre, vous pouvez vous sentir désorientés et fragmentés.
Tout au long de la journée, vous vous sentez fatigué et vous avez simplement envie de dormir. Lorsque vous êtes dans cet état, vous essayez de vous reposer souvent et il est difficile de vous réveiller et de sortir du lit.
Dans ces moments particuliers, vous êtes particulièrement émotif.
Il n’est pas possible de remonter à l’origine de cet état de mal-être, même s’il est constamment présent.

Avoir les batteries au plus bas signifie se sentir physiquement faible et se fatiguer pour chaque petit effort.
Vous pouvez ressentir des émotions fortes comme l’insécurité et l’incertitude au sujet de tout ce que vous faites ou ne faites pas.
Des épisodes mineurs de crises de panique et d’anxiété chronique peuvent survenir.
Même se sentir seul, quand ce n’est pas le cas, est un sentiment qui peut se manifester dans ces moments délicats.
Les pensées sont principalement négatives et traduisent la colère et le ressentiment.

Lorsque vous traversez une période d’épuisement physique et mental, vous devriez essayer de penser un peu plus à vous-même, à vous reposer l’esprit et le corps, à faire les choses que vous aimez particulièrement et à vous détendre.

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Trop fatiguées, les mamans ont souvent du mal à trouver le sommeil.

Une mère a rarement le temps libre de se dédier à elle-même, de se détendre, d’éteindre son cerveau et de ne plus penser à rien : il y a le travail, puis les  enfants, le couple, le foyer, et chacun de ces facteurs a besoin de son énergie. Ainsi, une femme s’habitue à être toujours active, à accomplir un millier de tâches pour tenter de contenter tout le monde; et inévitablement, elle a tendance à négliger ce qui peut être reporté, c’est-à-dire souvent elle-même. Cependant, cette attitude dégénère à long terme, en compromettant sa santé émotionnelle. Il est important de ne pas réprimer ses besoins, ses sentiments, car si une mère ne va pas bien, ses enfants ne seront pas heureux non plus, et toute la maison s’effondrera. Il est important d’en prendre conscience, et pour ce faire et intervenir, nous devons d’abord apprendre à reconnaître les signes de notre propre fatigue émotionnelle.

Si quelqu’un vous demande conseil pour résoudre ses problèmes, vous ne savez pas quoi répondre car vous ne savez même pas vous-même ce que vous ressentez. Une seconde avant, le cœur bat comme s’il voulait exploser, entraîné par une intensité d’émotions, et la seconde après, tout est silencieux en vous et vous ne ressentez plus rien. Vous sentez toujours un sentiment d’épuisement physique et mental et êtes incapable de supporter même un simple exercice physique. Vous vous sentez seule, même si votre compagne/compagne est à vos côtés, votre sœur est sur le point d’arriver et vos parents habitent à proximité : en fait, vous pensez que personne ne peut vraiment vous comprendre. Penser au futur vous rend anxieuse et déclenche la panique parce que vous vivez dans une incertitude. Même si vous dormez, vous n’arrivez pas à vous reposer et le matin, vous vous sentez épuisée. Puis, quand vous vous endormez, vous faites des cauchemars ou des rêves très agités. Rien ne semble vous combler de joie, pas même les câlins de vos enfants, et vous ne voulez pas être touchée, mais vous voulez juste être seule et ne pas penser à quoi que ce soit ou à qui que ce soit. Si c’est ce que vous ressentez, vous devriez admettre qu’il y a un problème à résoudre : ne vous renfermez pas, mais ouvrez-vous – avec votre partenaire, votre famille ou un professionnel – pour que vous puissiez dédier à nouveau du temps et de l’attention à vous-même. Avant d’être mère et épouse, vous êtes une femme, un être humain dont les désirs et les rêves doivent être réalisés; redécouvrez-les et vivez-les.

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La sécurité affective de l’enfant.

La sécurité affective apparaît comme une nécessité vitale permettant à l’enfant de s’épanouir, de s’ouvrir au monde, de découvrir son environnement.

Elle passe par une présence physique et une disponibilité psychique de la personne maternante (père ou mère) mais aussi, en structure d’accueil, du professionnel. Pour se sentir en sécurité affective, l’enfant doit pouvoir se rassurer par la simple présence de l’adulte mais aussi se sentir exister à ses yeux.

Une séparation brutale, le sentiment d’abandon, une indisponibilité physique, psychique, affective, de l’adulte peuvent être source d’insécurité affective.

Les pleurs, l’isolement, l’attente, l’inertie, l’angoisse, la mésestime de soi, la perte de confiance en l’adulte, le refus d’attachement affectif peuvent être les conséquences à court ou à long terme, d’un manque de sécurité affective.

La confiance, la tranquillité, le bien-être, l’épanouissement social, cognitif, psychomoteur sont les conséquences d’une bonne sécurité affective.

La « sécurité affective » est un terme composé formant un concept.Mais qu’est-ce que la sécurité en elle-même ? Et la sécurité affective n’est-elle qu’affective ?Quels sont les synonymes et les antonymes de la sécurité ?Qu’est-ce que l’affect, l’affectif et que recouvrent-ils ?

Du latin « securitas », « de securus » : exempté de soucis, sans inquiétude, la sécurité affective est situation dans laquelle quelqu’un ou quelque chose n’est exposé à aucun danger, d’agression physique, d’accident , une situation de quelqu’un qui se sent à l’abri, et qui est rassuré,en confiance, tranquillité d’esprit par le resulrés de la pensée qu’il n’y a pas de péril à craindre. La securséc affective est aussi synonyme de sûreté, assurance, confiance, calme, tranquillité, quiétude, abri, et ce a l’inverse de ses antonymes : danger, péril, et insécurité. 

Au vu de cette première définition, il apparaît que la sécurité est, d’une part un état d’esprit tranquille et d’autre part, un état de sécurité physique. Ainsi, on peux supposer que la sécurité affective passe par la quiétude d’esprit de l’enfant mais aussi par sa sécurité physique. La présence bienveillante de l’adulte tant qu’un environnement sécurisé sont donc indispensables pour un bon épanouissement de l’enfant.

En outre, on peux aussi considérer que les conséquences d’une sécurité en général et d’une sécurité affective en particulier, apparaît comme synonyme de cette première.

Peut-être faut-il dire qu’être en sécurité est déjà un état de confiance, de quiétude, de tranquillité, de bien être et que la conséquence de ceci permet un épanouissement global ?

Concernant l’enfant, le plus grand danger ressenti est la perte de ses parents ou de leur amour, éléments rassurants et de protection devant un danger réel ou imaginaire, extérieur ou intérieur.

Il apparaît, aussi que la sécurité globale de l’enfant est assurée par la présence et l’amour de ses parents mais qu’il est important de lui laisser prendre des risques mesurés. J’en déduis, en outre, que l’hyper protection inquiète peut mettre l’enfant en état d’insécurité, dans la mesure où l’inquiétude y figure. Ainsi, là où une surprotection  paralyse l’initiative de découverte de l’enfant, une attitude bienveillante et encourageante la stimule.

En ce qui concerne l’insécurité   affective, le danger intérieur représenté par l’infraction à une interdiction est aussi source, mais seulement dans la mesure où l’enfant peut craindre de perdre l’amour ou l’approbation de ses parents. La sécurité réside donc essentiellement dans la présence possible, stable, affectueuse et heureuse des parents. L’absence inhabituelle, les variations de comportements, la réaction négative inexplicable ou l’inquiétude de l’un des deux parents suffisent à éveiller chez l’enfant insécurité voire culpabilité ou crainte de quelque chose d’inconnu interposé entre l’enfant et ses parents.

Toutefois, l’absence d’un cadre, de disciplines habituelles et des discordances éducatives sont également génératrices d’insécurité en ce que l’enfant n’y « sais plus s’y retrouver » pour être en accord avec ses parents et avec lui-même. 

Enfin, venant de l’enfant lui-même, l’auto sécurisation est un processus défensif contre l’insécurité résultant, par exemple, de la solitude de la nuit et du sommeil ou de la transplantation dans un cadre inhabituel. C’est un processus respectable qui fait appel à des habitudes ou objets familiers, c’est a dire des rites de sécurisations.